Sans révision de la loi électorale, il n’y aura pas en 2017-18 plus de femmes élues qu’en 2006 et 2011
Beaucoup de bailleurs de fonds internationaux et d’ONG congolaises croient qu’il suffit de « capaciter » les femmes et les candidates pour qu’elles soient élues et siègent en plus grand nombre dans les institutions. Or, il n’en est rien. Le « renforcement des capacités », véritable dada des ONGI et pain béni des perdiemistes professionnel.le.s congolais.es, n’a qu’un très faible impact sur l’augmentation de la participation politique des femmes. Partout dans le monde, ce sont les mesures de discrimination positive inscrite dans la Constitution ou dans la Loi (électorale) qui ont permis de faire passer le nombre de femmes siégeant dans les institutions...
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