Catégorie : Actualité

Bricoler à la maison n’est pas réservé aux hommes !

Victime de son succès, le tome 1 du recueil “On bricole toutes !” publié par le magazine féministe belge Axelle a été très vite épuisé si bien qu’il a été décidé de mettre en accès libre en ligne toutes les fiches de cette première compilation. Vous découvrirez à portée de clic comment changer une prise,  réparer une fuite de chasse d’eau… De quoi rendre le bricolage  accessible aux femmes ! Depuis 2014, le magazine axelle brise les stéréotypes de genre liés au bricolage en publiant chaque mois des fiches pratiques utiles et autonomisantes. La bricoleuse y aborde un sujet de façon très concrète, illustré avec des personnages féminins diversifiés et proches de nous. Qu’on s’y mette vraiment ou non, on se renforce rien qu’à la lecture d’une fiche : on peut le faire ! Et puis si vraiment on a réussi, toute seule ou avec une amie, à poser un revêtement au sol, à réparer un robinet qui fuit, non seulement on a fait d’importantes économies sur l’intervention d’une entreprise professionnelle, mais surtout on se sent plus puissante…

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Pas de paix sans les femmes

“Nous avons déjà tellement parlé de nos difficultés mais tout le monde ne fait qu’écouter. Tout le monde écoute. Personne ne fait rien […] juste écouter, enregistrer et prendre des photos. Il ne s’est rien passé. Donc je n’ai même plus envie de parler. »

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Eglises : « Tu couches avec moi, tu auras un mari ». Quand des pasteurs martyrisent les femmes

L’Eglise est  « l’opium du peuple », c’est-à-dire une sorte de drogue, un paradis artificiel empêchant l’individu de se tourner vers les véritables responsables de l’injustice sociale. Cette citation de Karl Marx est toujours d’actualité à Bukavu et ailleurs. Les premières victimes sont des femmes. Des pasteurs les manipulent, les injurient à volonté, les maltraitent, tout cela au nom de Dieu. Quel Dieu ?

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Nora Cortiñas, « mère de toutes les batailles » en Argentine, est morte

Nora Cortiñas, figure emblématique de l’association des Mères de la place de Mai, qui recherchent leurs enfants disparus pendant la dictature argentine (1976-1983), s’est éteinte jeudi 30 mai, à 94 ans, sans savoir ce qu’il était advenu de son fils. Carlos Gustavo Cortiñas, 24 ans et militant de la jeunesse péroniste (gauche), avait été enlevé le 15 avril 1977 par les militaires sur le quai de la station de train de Castelar, dans la banlieue ouest de Buenos Aires.

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