Mois : mai 2019

Votre enfant étudiera-t-il bientôt avec une tablette ?

 Le numérique révolutionne l’éducation … en RDC aussi. De nombreuses start-up africaines, dont une congolaise,  présentes au salon VivaTech se sont penchées sur la manière dont le numérique pouvait aider à délivrer une meilleure éducation.    Rwanda, Sénégal, Maurice ou encore Algérie… Aux côtés des grands noms du numérique, la tech africaine a bonne place au salon VivaTech à Paris. Cette année, près de 160 start-up du continent viennent présenter aux professionnels et au grand public leurs innovations, du 16 au 18 mai. Et la foule est nombreuse en ce jeudi après-midi. Dans les couloirs du pavillon Africa Tech, il faut jouer des coudes pour atteindre les pavillons...

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Les parents boudent les filles footballeuses

Certains parents de la ville de Bukavu considèrent les filles qui jouent au football comme des personnes ayant raté l’éducation. Le fondateur et animateur principal de l’Ecole de football (Ecofoot) de la ville leur rétorque que son institution est un centre d’encadrement intégral des jeunes. L’Ecole de football (Ecofoot/Bukavu) comprend plusieurs aires de jeu, entre les installations portuaires de la Société nationale des chemins de fer du Congo (Sncc) et le marché Beach Muhanzi, sur les rives du lac Kivu, dans la commune de Kadutu. Beaucoup de jeunes garçons y affluent, provenant de tous les coins de la ville....

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WORLDMADE STORIES : à la rencontre des artisans du monde

WORLDMADE STORIES, c’est avant tout la volonté de mettre en avant les artisans du monde. Un blog d’histoires d’artisanat et de voyages d’ici et d’ailleurs ! D’origine béninoise, Vanessa Lokossou, acheteuse artisanat de 31 ans, est parisienne d’adoption depuis 13 ans. Désireuse de mettre en avant les artisans du monde entier et valoriser leur travail, elle a fondé le slow webzine WORLDMADE STORIES, qui retrace les histoire de ceux qu’elle a rencontrés. Interview #POSIPITCH. WORLDMADE STORIES Pouvez-vous nous présenter votre projet ? WORLDMADE STORIES, c’est la contraction de WORLDWIDE et de HANDMADE. Ce sont des histoires d’artisans et d’artisanat, des histoires de lieux et d’habitants du monde, des contacts en toute simplicité et du partage sans prétention. Dès que je le peux, je me rends dans des ateliers, des villes et villages plus ou moins éloignés de Paris, à la rencontre d’artisans, d’artistes et de tous types de locaux qui souhaitent partager leur histoire et leur vision avec le monde. Je raconte ensuite ces histoires inspirantes sur le webzine, en y intégrant photographies et vidéos ainsi qu’à chaque fin d’article, des conseils et enseignements tirés de chaque expérience. Abbas, bijoutier touareg au Bénin – WORLDMADE STORIES Pourquoi avez-vous décidé de vous lancer dans cette aventure ? En 2015, je me suis rendue compte que l’artisanat était un secteur qui me faisait vibrer, qui la plupart du temps était en...

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À Jinwar, en Syrie, le village est réservé aux femmes

Elles ont fui les combats et les maltraitances et se sont retrouvées dans ce village baptisé « Jinwar » (« La terre des femmes »), situé dans le Kurdistan syrien. Sa particularité ? Seules les femmes et les enfants peuvent s’y installer. Depuis novembre 2018, dans ce village syrien pas comme les autres, des femmes ont décidé de vivre en communauté entre elles. Sans aucun homme.Depuis novembre 2018, une quinzaine de femmes et près de trente enfants vivent à Jinwar. Un lieu où ils se sentent enfin en sécurité et où le travail des femmes est valorisé et encouragé. Après avoir vécu les horreurs de la guerre, elles peuvent se reconstruire et apprendre à devenir autonomes. Une terre de paix et d’espoir bien méritée. Cette vidéo de Loopsider nous fait découvrir ce village pas comme les autres : Par Mathilde Sallé de Chou Publié le 22 mai 2019...

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«Féminisme pour les 99%», le manifeste qui veut un féminisme pour toutes

J’ai vraiment pris conscience de ce qu’était le féminisme libéral il y a quelques années, quand j’ai été invitée à une rencontre de DRH et directrices de grandes entreprises, par une association qui prétendait porter la voix des femmes. Je me souviens avoir été frappée par une chose, c’est que ces femmes ne portaient pas du tout la voix de toutes les femmes, mais essentiellement de celles qui leur ressemblaient. Pas une fois dans cette rencontre il n’avait été question des femmes pauvres, ou des salariées les moins payées. C’était la première fois que je comprenais aussi nettement comment...

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