Nous tenons tête à l’exploitation et à la culture sexiste dans les rues, dans nos maisons, sur nos milieux de travail.
Nous demandons aux gouvernements de placer le bien-être des citoyens au cœur de leurs préoccupations et mettent un terme à toute forme de violence exercée avec l’assentiment de l’Etat, y compris le fait de tirer profit de la guerre et la militarisation.
Nous nous organisons afin de faire cesser le racisme institutionnel et quotidien et toutes les politiques et pratiques discriminatoires de nos sociétés.
Parmi les nombreux endroits où prennent place les luttes féministes, citons le système international des droits humains. au sein duquel vont se dérouler, dès ce mois de mars, deux événements importants : le Conseil des Droits de l’Homme et la Commission de la condition de la femme.
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Au fil des années, les féministes ont créé au sein de ce système un espace pour faire avancer la situation des droits sexuels, des droits reproductifs et des défenseur-e-s des droits humains, pour n’en nommer que quelques uns.
À l’heure actuelle, le système des droits humains se voit toutefois de plus en plus menacé par des acteurs anti-droits et l’influence des grandes sociétés. C’est pourquoi nous continuons d’élever nos voix dans ces espaces. Nous rejetons les programmes conservateurs et réactionnaires et démontrons que le mouvement féministe est là pour placer les autorités face à leurs responsabilités.
Peu importe alors qu’en ce 8 mars, nous nous trouvions chez nous, dans la rue, en ligne ou dans les locaux de l’ONU : à travers nos efforts collectifs, nous avançons à pas de géants vers la réalisation de nos visions audacieuses en faveur d’un monde équitable.
SOURCE : AWID
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